Journal d'un frustré sexuel

Et voilà une nouvelle semaine qui commence, et une nouvelle humiliation de plus pour moi aussi.

Après l’obligation de me raser le sexe, de porter des slips de femmes, je vais devoir mettre un soutien gorge lorsque je vais rentrer à l’appartement après mon travail.

Je suis sur que Raymond s’en amuse. Par moment je le déteste : il m’a fait cocu avec Sandrine, il l’a convaincu de ne plus baiser avec moi et même de se montrer nue devant moi, et il la rend de plus en plus salope. Et elle aime cela, comme quoi je la connaissais mal.

Que faire d’autre sinon de subir cet état de chose, je pourrais la quitter et divorcer, mais en même temps je jouis de la situation chaque semaine alors je vais continuer à jouer le voyeur de ma propre femme aux ordres d’un autre homme.

Lundi soir en rentrant du boulot Sandrine et Raymond étaient déjà là, j’ai eu à peine le temps de poser mes affaires qu’il m’a dit « va mettre ton soutif et viens nous le montrer, tu nous montreras aussi ta petite culotte »

Me voilà en petite culotte et soutif devant eux, j’ai honte. Raymond me dit « tu devras porter un soutif tout le temps sauf lorsque tu travailleras, c’est compris »

Moi « mais je ne pourrais pas sortir dehors »

Lui « mais si tu t’y habitueras et sous tes vêtements cela ne se verra pas, allez va te rhabiller »

Pourquoi discuter, il a toujours le dernier mot.

Mardi, je reste à l’appart, je ne veux pas sortir.

Mercredi, dès que je me suis changé, Sandrine me dit « ce soir nous t’invitons au restaurant », j’aurais dû m’en douter, ils vont m’obliger à sortir.

Elle rajoute « mais avant nous irons faire des courses à l’hypermarché »

Toute la soirée me fut désagréable, à l’hyper comme j’avais mon blouson sur moi, cela ne me préoccupait qu’un petit peu mais au restaurant il a fallu que je l’enlève, j’avais l’impression que tout le resto savait que je portais un soutif. J’étais content de rentrer à l’appart.

Le reste de la semaine se passa mieux, c’était toujours bizarre de sortir en soutif  mais je m’y habituais. Raymond avait encore raison.

Dimanche soir arriva, j’avais hâte de connaître la semaine de Sandrine. J’avais remarqué qu’elle ne portait toujours pas de soutif cette semaine, comme la semaine précédente.

Je m’installais, nu sur mon lit, la capote dans la main et je l’attendais.

Elle arriva 45 minutes après avec son ordi portable, elle faisait durer le suspens. Je me mis aussitôt à bander, et j’en profitais pour me mettre le préservatif.

Elle « Tu vas avoir de la chance, grâce à cette semaine que tu pourras voir mes seins en photos » et elle se mit à rire.

Elle « Et oui le thème de ma semaine était de montrer mes seins par inadvertance à un maximum de gens. Tu vas te rendre compte que j’ai pas mal réussi. »

« Comme chaque lundi matin, je suis allé voir Mme Fortin pour lui donner le thème. Elle m’a dit que cela lui plaisait et que nous allions bien nous amuser.

J’étais habillé pour ce premier jour assez classique comme tu peux le voir sur cette photo sand0061  prise dans le parc par Mme Fortin. Malgré tout j’ai vu des hommes passés et repassés devant moi, pour pouvoir me mater.

Mardi la tenue était plus dure à porter, laisser les boutons de mon chemisier ouvert et faire comme si de rien n’était, n’était pas très évident. Heureusement que Mme Fortin est là pour m’obliger à obéir à Raymond. Voici la photo au resto du midi  sand0062 . Mme Fortin a bien ri car nous avons eu 4 serveurs différents à notre table, ils avaient du se donner le mot pour venir voir mes seins. Ils n’étaient pas pressés de quitter notre table.

Mercredi,  voici la photo à la terrasse d’un café  sand0063 , j’étais moins gênée même si il y avait beaucoup de monde. J’ai eu le droit à quelques réflexions de la part des jeunes comme « ho !! La salope, on lui voie le téton » ou « regarde, elle a les nichons à l’air ». J’en ai rougi mais surtout cela m’a excité.

Jeudi, Mme Fortin m’a annoncé que le midi nous irions déjeuner avec des amis à elle. Au début du repas, je n’étais pas très à l’aise mais au fur et à mesure je me suis décontractée comme tu peux le voir sur cette photo  sand0064 .  Le soir à la piscine, j’ai aimé plonger dans l’eau et montrer mes seins au groupe de Raymond, car je n’avais pas serré le haut de mon maillot de bain  sand0065 . Raymond aussi a aimé, nous avons baisé dans la voiture avant de revenir tellement il était excité, il ne voulait pas attendre.

Vendredi, j’avais rendez vous à la médecine du travail, voici la photo dans la salle d’attente sand0066 . J’ai du expliquer au docteur et à l’infirmière en rougissant que je ne portais pas de soutien gorge car j’avais oublié leur rendez-vous. Ils ont souris et je crois bien qu’ils ne m’ont pas cru mais ils ne m’ont pas fait de remarques.

Samedi, voici la tenue pour aller faire quelques achats avec Raymond  sand0067 , elle était sage, tu ne trouve pas.

Comme tu l’as remarqué, le soir nous sommes sortis. Nous étions invités chez Paul, il y avait aussi Alain et Fred. Oui je sais c’est nos amis du cours de natation.

 Tu étais aussi invité, mais je leurs ai dit que tu étais malade pour pouvoir y aller seule avec Raymond. C’était une soirée sympa, l’alcool aidant, ils ont pu me reluquer de plus en plus au court de la soirée  sand0068 , sand0069 , sand0070 , sand0071 , sand0072 , sand0073 .

Je te rassure, Raymond a été sage avec moi devant tes copains. Ils peuvent peut-être avoir un doute mais rien de notre attitude ne leur  prouve que tu sois un gentil cocu.

Dimanche, Raymond  a voulu faire fort, nous sommes allés au marché et voici la tenue qu’il m’a fait porter  sand0074 , sand0075 .

Je suis passée pour une vraie salope, les femmes me jetaient des regards noirs, les hommes eux me souriaient, enfin ceux qui n’étaient pas coincés ou qui n’était pas avec leur femme. Avant de rentrer, Raymond m’a obligé à lui faire une pipe dans le parc municipal car je l’excitais trop selon lui avec ma tenue.

J’espère que ma semaine t’a plu, mon petit cocu de mari »

Moi « bien sur, je suis très excité »

Elle « et bien dépêche toi de te branler »