Journal d'un frustré sexuel

Au réveil, ce lundi matin, j’enfile ma petite culotte de femme pour aller travailler. Je n’arrête pas de penser à la surprise que Sandrine m’a promis pour dimanche. Je ne sais pas ce que c’est mais je suis sûr d’une chose, c’est que cela va être humiliant pour moi, je commence à les connaître tous les deux.

En tout cas, rien ne change lorsque je rentre du travail.  Dès mon arrivée à l’appartement, je dois mettre un soutien-gorge.

Lundi soir, Raymond m’a envoyé lui chercher un paquet de bonbons à l’épicerie du coin. J’avais envie de l’envoyer sur les roses, je ne suis pas sa bonniche. Mais encore une  fois, je me suis écrasé face à lui et je suis allé lui acheter ses bonbons en portant mon soutif.

Mardi soir, à peine rentrer, Raymond m’appelle du salon. Je passe devant la cuisine, Sandrine est entrain de faire le souper, elle me sourit. Raymond me demande de me déshabiller devant lui. Je retire mes vêtements et je reste en petite culotte.

A ma grande surprise, il me dit « baisse ton slip que je vérifie ton épilation »

C’est la première fois qu’il me demande cela, je suis bloqué. Il rajoute « allez, dépêche toi » Comme un automate, je baisse ma culotte et j’attends devant lui mon sexe à l’air et ma culotte aux genoux.

Raymond « c’est bien Lilian. Tu vas t’habiller avec ce soutif noir et cette chemise blanche. Tu iras à l’hypermarché m’acheter une bouteille de whisky »

Je remonte mon slip, je mets un jeans, le soutif noir et la chemise blanche. Le soutif apparaît très bien en transparence sous la chemise.

Je lui dis « je ne peux pas sortir comme cela, c’est trop voyant »

Raymond « oui je sais, tu pourras mettre cette veste » et il me la tend. Je l’enfile, c’est vrai que c’est mieux mais lorsque je veux la boutonner, je m’aperçois qu’il n’y a plus de boutons.

Moi « c’est pas possible, je ne peux pas la fermer »

Raymond « tu n’auras qu’à faire attention » Je me dirige vers les clés de ma voiture…

Raymond « pas besoin de tes clés, tu y vas en bus »

Je le regarde, j’ai vraiment envie de tout envoyer balader. Mais comme toujours maintenant, j’ai cédé devant lui.

Je suis sorti de l’appartement en claquant la porte et je me suis dirigé vers l’arrêt de bus.

Je suis donc allé lui chercher son whisky. Cela ne s’est pas trop mal passé. J’avais pourtant honte en sortant mais en gardant les mains dans les poches de la veste, j’ai pu éviter que l’on voit le soutif noir sauf lorsque j’ai du payer le ticket de bus et la bouteille.

J’étais rouge écarlate devant le chauffeur de bus et devant la caissière mais j’avais pas le choix. Heureusement, personne ne m’a fait de réflexion.

Pour le reste de la semaine, je m’attendais à d’autres humiliations de Raymond. Mais rien ne s’est produit. A chaque fois que je rentrais, j’avais une boule au ventre, m’attendant au pire.

Et puis dimanche soir arriva, Sandrine m’a dit d’aller me préparer. Comme d’habitude, j’étais très excité. Je m’installe nu sur mon lit, ma petite bite en érection, la capote dans la main et je l’attends.

Cette fois 5 minutes après, je l’entends aller chercher son ordinateur portable dans sa chambre, elle arrive, je lui souris et ……

Raymond la suit. Je suis encore surpris par eux.

Sandrine « et oui la surprise que je t’avais promis, là voilà, ce soir c’est Raymond qui va te raconter ma semaine »

Moi « mais pourquoi ? »

Sandrine « écoutes, nous avons décidé que dorénavant nous voulions être un vrai couple surtout devant toi. Raymond et moi en avons marre de nous cacher de toi lorsque nous avons des gestes très tendre ensemble. Ce que tu as accepté de faire en début de semaine, nous a convaincu que tu étais prêt à le supporter »

Moi « mais je ne vous ai jamais rien empêché »

Sandrine « je sais, mais maintenant, nous allons te considérer comme le gentil soumis de notre couple, nous ne nous cacherons plus dans l’appartement pour nous embrasser, nous câliner et puis d’autres choses que tu verras bien.  Es tu d’accord ? Et veux tu que Raymond te raconte ma semaine ? »

Comment leur refuser, même si mon érection a faiblit pendant cette conversation, le fait de pouvoir connaître sa semaine, m’a de nouveau fait bander à en avoir mal, mon sexe parle à ma place, ma dignité dans ces moments là est oubliée, je leur dis « oui je suis d’accord et s’il te plait Raymond, raconte moi la semaine de Sandrine »

Sandrine et Raymond se sourient et il commence son récit :

« Le thème de la semaine était l’interdiction de porter une culotte.

Lundi matin, j’ai donc donné à Sandrine les vêtements qu’elle devait mettre pour aller à son travail sand0076 .

Elle est allée voir Mme Fortin pour lui dire son thème et Mme Fortin m’a envoyé par mail cette photo qu’elle a prise dans le bureau de Sandrine sand0077 . Lorsque je suis allé rechercher Sandrine le soir, tu aurais vu, elle avait le sexe trempé. Je l’ai donc branlé dans la voiture pendant qu’elle me faisait une pipe.

Mardi, même chose avec une tenue différente sand0078 , mais cette fois, je l’ai baisé dans le garage, si tu savais comme c’est pratique de ne pas porter de culotte.

Mercredi, Mme Fortin m’a envoyé cette photo prise dans le parc pendant la pause déjeuner sand0079 . Tu vois la chance que tu as d’avoir une femme si belle. Le soir, pendant que tu étais à la natation, nous sommes allés dîner au restaurant sand0080 . Nous étions excités comme des puces, et avant que tu ne rentres, nous avons encore baisé sur le canapé du salon. Tu serais rentré plutôt, tu nous aurais vu !!!!!!!!!!!!!!!!

Jeudi, nouvelle tenue, et nouvelle photo de Sandrine prise par moi avant d’aller au travail sur le trottoir en face de notre appartement sand0081 . Tu te rends compte si nos voisins l’avaient vus ainsi.

Le soir, comme Sandrine ne pouvait pas aller faire de la natation sans culotte, elle a du y aller comme cela sand0082  et porter ce maillot de bain sand0083 . Ta femme passe maintenant pour une petite salope auprès de tes copains du club et je suis sur que personne ne t’en parle, ils en profitent aussi avec leurs yeux, pour l’instant.

Vendredi, Mme Fortin a lancé un défi à Sandrine, elle devait arriver en pantalon et avoir une jupe dans son sac. 10 mn avant la réunion hebdomadaire avec ses collègues de travail, Mme Fortin a demandé à Sandrine de se mettre nue et de s’habiller avec la jupe dans la salle de réunion. Voici les photos dans la salle sand0084  et sand0085 ) et une autre en jupe à la pause déjeuner sand0086 .

Sandrine m’a dit qu’elle avait été effrayée de se mettre nue mais en même temps qu’elle avait été excitée de le faire.

Elle change ta petite femme, et tu ne trouves pas.

Samedi, nous sommes allés au stade, comme tu peux le voir sur cette photo sand0087 , Sandrine oublie maintenant qu’elle ne porte plus de culotte.

Dimanche, au Mac-do, pendant que tu allais nous chercher nos glaces, j’ai fait cette photo sand0088  Et dire que tu ne savais pas que Sandrine était sans slip. En tout cas, cela nous a bien amusé.

J’espère que cette semaine t’a plu ? Et rends toi compte, tu pourrais me remercier car je t’ai montré en photo le sexe rasé de ta femme que tu n’as jamais vu en vrai»

Moi « bien sur, ………….merci Raymond » Comment dire autre chose, j’ai le sexe en érection devant eux, j’ai une envie folle de me branler.

Raymond « allez, soulage toi »

Je prends mon sexe dans la main, 4 allers et retours et j’explose dans ma capote. Je rouvre les yeux, Raymond embrasse Sandrine sur la bouche et ils s’en vont dans leur chambre.

(A suivre)